M. Branch avait une affection bien spéciale pour sa belle-famille Duguay de la région de Saint-Isidore, ainsi que pour ses nombreux neveux, nièces (en particulier Edmonde), cousins, cousines et amis (surtout ceux et celles de Saint-Jean qu'il cons

idérait comme sa "famille d'adoption").

Il était grandement reconnaissant des grandes joies vécues à son travail (retraité du Telegraph Journal) et à son bénévolat au sein des organismes francophones et anglophones de Saint-Jean.