Il fut fermier. Ils demeurent à Bathurst jusqu'à 1903, où ils déménagent à Chipman. A Chipman Dominique se trouve de l'emploi dans les mines de charbon dans le village en voisinant de Minto. Il devint contre-maître de mines surtout à cause qu'il était un des seuls hommes bilingues. Il avit appris l'Anglais quand il était à Bathurst et surtout de sa femme, car la grand-mère paternelle d'Hélène était une Robertson. Dominique pour plusieurs années était assez nomade, car de la difficulté de trouvé de l'ouvrage dans la province. La tradition nous rapporte qu'il était un gros homme robuste et savait faire son chemin. On retrouve Dominique et Hélène à Saint-Jean, N.-B., et c'est à cet endroit qu'Hélène est morte le 1er mars 1924. Elle fut inhumée à cet endroit. Deux ans plus tard, on retrouve Dominique aux États-Unis avec limmigration massive de ces temps. A Boston, il était jardinier pour le chemin de fer Bangor-Aroostook Railroad, une ligne ferroviaire qui desservait la Nouvelle-Angleterre. Cette ligne ferroviare existe encore de nos jours. Dominique en deuxièmes noces épouse Marie Thériault, veuve d'un Doucet de Bathurst, le 16 décembre 1930. Leur certificat de mariage nous démontre que ces deux étaient voisins, résidant tous les deux sur la rue Vineland à Brighton, Massachusetts (Boston). Le 23 janvier 1939, à l'hôpital de Newton, Mass., succomba Dominique à la suite d'une crise cardiaque. (Réf. M. Léo (Denise) Beliveau) |